shokin bat de l'aile et y laisse ses plumes

Tapas cent balles



Quand on s'emballe dans ce dédale,
C'est pour que dalle et pour cent balles.

Quand tu déballes l'originale,
T'es marginal de ce gros bal.

Quand l'animal joue des timbales,
Où est le mal ? T'as pas cent balles ?

Quand le cadeau si cher s'emballe,
Raclez la gorge à ces vandales !

Même le plastique déballe,
Suis-je sarcastique ou létal ?

Je suis vénal. T'as pas un balle ?
Sans mon moral, pas de morale !



Shokin

De bien beaux jeux de mots. Pas mal, Shokin !

Mieux vaut banal que bancal.
Mieux vaut létal qu'immoral.

Mieux vaut original que débile.
Mieux vaut amical que mercantile

Si je déballe, suis-je débile ?
Si je décale, suis-je sénile ?



Okay, c'est short, mais could you le mettre en "hot-shot" ? (à la une de la section)



Shokin

shokin a écrit:

Okay, c'est short, mais could you le mettre en "hot-shot" ? (à la une de la section)



Shokin

C'est fait.

Les rats, c'est tout un bel art (ou un beau lard), que je n'ai jamais pratiqué. J'ai juste connu "Hey ! le rat dévie ! Hey ! le rat déchante !"

Quand on a la rate, risque-t-on de faire partie des animaux malades de la peste ?
Quand l'ara raconta ses errata au rat, le rat rattrapa à grands pas Lara. Puis l'on vit l'ara qui rit. Lara râla ! Puis arriva le râle. Alors là, l'ara s'alarma la larme à l'oeil. Car là brunit le râle, ce gras lard ! Il ne parla pas mieux que l'ara, mais son champ dépassait ceux de Carla et de Souchon.

Dieu est-il Maure ? Qui mort mon aura aura mon mormon. Les corps mourants ouïront les romans marrants des cormorans et les chansons de Jim Corcoran. Mais malheur et haro à l'ara, au râle et au rat qui tarira leur aura. Le marmor tombera sur leur moindre murmure futile, fût-il de Mérimée.

Excellentissime ! et sans ratures...

Ravissant !

Tu devrais écrire un carnet d'exercices pour l'art théâtral (diction, ton, comique...).
Ou des textes de lectures pour enfants (et pour adultes parce qu'on a bien besoin de rire parfois nous aussi !)
Et tu gagnerais des sous...!

Et pourquoi pas des sketches comme Raymond Devos ?...

Tu es très doué, je t'assure !

Imagine une soirée entre potes, où, après le repas (un peu arrosé de bon vin comme il se doit), tu donnes un texte comme celui-là à lire à chacun : fous rires garantis !

A l'écrit, peut-être.

A l'oral, c'est autre chose :

- ça demande de l'entraînement,
- et tes interlocuteurs ne vont que rarement percevoir la subtilité.

Parmi mes contacts au sens large, je pense que :

- peu connaissent le mot "Maures",
- une moitié seulement connaissent la fable "Le rat de ville et le rat des champs"
- un huitième ne savent pas ce qu'est la rate (et ce qu'ils ratent ; par contre ils savent que ce que signifie "rate" en anglais :mrgreen),
- "le râle" est le mot le moins connu des mots que j'ai utilisés,
- ...

Tout ça pour dire que, sur le web, un texte peut être lu de tout le monde. Par conséquent, il ne sera jamais adapté à tout le monde. Il ne sera donc jamais un héros, jamais un bouc émissaire. S'il perce, ce sera uniquement grâce à des admirateurs qui auront effectué une certaine démarche de "fans". Et ce n'est même pas le but de l'auteur.

En tout cas, je suis sûr que je peux faire mieux. Le texte était relativement improvisé.

Je suis même encore plus certain que chaque personne peut s'y mettre !

C'est tout ce qui fait la richesse de notre langue:homonymes et sens cachés, figurés et propres des mots.

Les maux doux des mots dits...

Les mots doux des maudits...

Les maux dits à demi-mots...

Bien sûr, on peut toujours s'améliorer avec du temps, avec du talent, avec tant de talent...

De talent latent.... Du talent tueux !

Tant le lent talent latent l'attend , qu'Eulalie, lentement, plante en la plaine plate un blanc plant d'espérance, puis elle déplie son pliant, s'y assoit céans sans s'emmêler les membres.

Sa narine timide hume la brume qui parfume le matin humide ;

Elle attend le talent...

Rien ne vient ! Sauf son chien "Chienchien".

( C'est nul, mais ça ne fait rien !)

shokin a écrit:

Les rats, c'est tout un bel art (ou un beau lard), que je n'ai jamais pratiqué. J'ai juste connu "Hey ! le rat dévie ! Hey ! le rat déchante !"

Quand on a la rate, risque-t-on de faire partie des animaux malades de la peste ?
Quand l'ara raconta ses errata au rat, le rat rattrapa à grands pas Lara. Puis l'on vit l'ara qui rit. Lara râla ! Puis arriva le râle. Alors là, l'ara s'alarma la larme à l'oeil. Car là brunit le râle, ce gras lard ! Il ne parla pas mieux que l'ara, mais son champ dépassait ceux de Carla et de Souchon.

Dieu est-il Maure ? Qui mort mon aura aura mon mormon. Les corps mourants ouïront les romans marrants des cormorans et les chansons de Jim Corcoran. Mais malheur et haro à l'ara, au râle et au rat qui tarira leur aura. Le marmor tombera sur leur moindre murmure futile, fût-il de Mérimée.

Et dire que j'ai raté ça ! :D

T'as raté ça ? Car athée t'es ? Car t'es tarée du cathéter (ou du caténaire, tes nerfs t'énervent) ? Et t'as arrêté ta téracalorie, usée de l'artère à l'arête par les katas du karaté ? Taratata ! T'as tout raté ! T'as qu'à te taire ! Attaque ta terre terre-à-terre, héritée de Territet (une ville en Suisse) !

Hey, Gusty, tu as aussi du latent talent tueux ! C'est patent ! Épatant ! Et pas tant empatté ! Étape par étape, tape des mains, tape des pieds ! Étape par étape, tape des mots, tape des sons ! Pauvre tantale ! Pauvres Tantale et Tantale ! Pauvre tantale ! Tant de tantales talentueux mais éculés par les tentacules tentant le cul de tante Agnès dans tant d'attente ! T'as tant pâti d'empathie !

Gusty a écrit:

Tu devrais écrire un carnet d'exercices pour l'art théâtral (diction, ton, comique...).
Ou des textes de lectures pour enfants (et pour adultes parce qu'on a bien besoin de rire parfois nous aussi !)
Et tu gagnerais des sous...!

Et pourquoi pas des sketches comme Raymond Devos ?...

Il est vrai que Raymond Devos est l'un de mes favoris dans le genre. Il y a aussi François Pérusse et les deux minutes du peuple. Il y a aussi Loco Locass !

En fait, je compose déjà des phrases pour des exercices de code phonétique (code manuel pour aider les personnes sourdes à apprendre à lire et écrire) francophone.

Gagner des sous n'est pas l'argument qui déclenchera mes décisions. C'est un aspect secondaire que je considère comme lapidaire. Je préfère le lampadaire qui éclaire mon frigidaire.

Tu connais le mot qui n'existe pas suivant : sympathétique = sympathique ET synthétique ET pathétique, un peu comme les discours politiciens ou la cigarette.

Tu devrais monter un duo avec la louve ,vous me paraissez tous deux complètement déjantés. J'avoue que tous ces délires font du bien, cela me rappelle ma période étudiant...

ça se pourrait, mais nous n'avons pas le même style.

Mais si La Louve fait de la musique, ça pourrait faire un tabac, que je ne fume pas. Puis la louve risque de me passer à tabac et de me mettre en bière. Même ton chien d'avatar n'y résisterait pas. Une louve - surtout celle-ci - c'est déterminé, ça a de la force (comme le tabasco) ! Et n'est pas Rémus ou Romulus qui veut.

Watch out !

- Watson, watch this wonderful wild and so willowy waitress ! wow ! Well ! Wait for water ! so many watts are the results of her Weight Watchers ! Be watchful ! She wears a swiss watch ! Water polo with her will be, whoever wins, as wonderful as Waterloo war ! Even if I do a weewee when swimming.

- So what ? watch her warm and watery eyes ! She's weeping more than a willow ! Wake up ! Whatever she did she's worried because of awful worms. She lived her worst war, she feel herself weighing, wearing the weight of the world, of this weird world. She wants a warranty but won't, she's a widow. What is wisedom when you have no more wish, no more wings ? Whitout her wire she appears like a witch. One wrench, and all your work becomes a wreck. You feel suddenly so weak weekly. The wheather was white, but now it's wet, now she wonders, she wanders. She drank willingly wine, now she drinks windy whisky. Winter will be only waffle.

C'était sur un autre forum, il y a cinq ans !

Je vais vivre,
Car vivre est ma fin,
Car vivre est ma faim,
Ce soir, j'ai fini de honnir.

Je quitterai les sentiers battus.
Je trouverai une route quoi qu'il en coûte.
Pourquoi ce monde en déroute me fuit ?
Pourquoi vivre sinon pour se battre ?

Le soir n'est que le début de ma vie.
Avec ou en manque de veine,
Je ferai l'effort, prendrai toutes les peines,
Car la pensée et le langage ne suffisent pas.

Un jour prochain je mourrai,
Jour qui n'est encore arrivé.
Le monde est ma nourriture.
La vie est mon aventure.

A trop citer d'atrocités, on se retrouve dans l'âtre aux cités.

Pourquoi s'en faire quand on s'y fait. Ainsi fait un siphon, lui qui luit.. Un des six maîtres indécis pour mettre un décimètre.

Fais le bien, fais-le mal, fais comme tu pourras. Les poux riront puis pourriront. Les mous ronds mourront. Mais les morons ne m'auront pas.

Les mordus de la vie la mordent en retour.

Nicolas Sarkozy s'est bien foutu de la gueule des Français. Il leur a foutu le moral dans les petites chaussettes tout en s'en foutant plein les poches. L'éducation nationale est foutue en l'air. Je ne compte plus le nombre de personnes qui meurent d'envie de lui foutre des claques ! On se demande bien ce qu'il a foutu pour l'environnement, toujours attaché à ses centrales nucléaires. Peu importe où il va, désormais, on s'en fout. Les Françaises et les Français veulent une autre personne, qui, elle au moins, sera foutue d'être à l'écoute des Françaises et des Français, et de la nature, de la réalité. Cela dit, on peut aussi se demander si le système français est vraiment bien foutu. Parfois, on a l'impression de voir trop de bureaucrates peu à l'écoute des personnes sur le terrain, qui - quant à elles - foutent quelque chose. Je lis souvent que les Français ne foutent rien. Ce n'est pas faute d'avoir essayé, chômage oblige. La France serait-elle donc si mal foutue, à l'agonie ? Foutu euro de merde, entend-on en choeur ! Et même, dans le monde, foutu système, foutue monnaie ! Pour Nicolas Sarkoy, c'est foutu, on n'en voudra plus.

La vache arrache la hache de d'sous la bâche. Elle n'est pas lâche, qui
se hâte à la tâche, que je sache. Quand elle se fâche, elle se lâche,
elle mâche la pistache et s'entache de grenache et fume le hash ! Elle y
va cash avec panache comme l'apache. Mais tout le monde s'y attache et
cravache sans relâche !

Quand je vois sa tronche, elle me branche.
Jamais je ne bronche, jamais je ne tranche.
Face à sa face blanche, je planche.
Sa démarche franche et pervenche
Sonne comme une avalanche quand elle s'épanche.
Mais je reste étanche, tel un chauffeur du dimanche,
Penchant ses manches de Conches à Avenches.

Ch'est achez diffichile de prononcher tout cha achez vite, cha, ch'est chur !



( Che ris, ch' avais une mère d'élève qui parlait comme cha, et ch'avais grand peine à garder mon chérieux dans les converchachions... Et comme ch'avais cha fille en Ché-P et que che devais lui ech'pliquer que cha fille confondait les "ch" et les "s"...

Che devrais écrire des chketches pour un bon comique...)

Che cherait une chouette idée ! Chiche ! Chi chi ! Che cherait chenchachionnelle ! Tout comme la princhèche achachinée !

Che peux échayer : che verrais bien Muriel Robin, en Inchtitutriche qui raconte au public cha dernière entrevue avec une mère d'élève !