Steph M. (melting pot)

LE POETE

Je me perds dans ses mots
Et voyage dans son âme
Ses trésors les plus beaux
Dévoilent tous leurs charmes

Je sillonne les routes
Les sentiers de son coeur
Et soigne ma déroute
En puisant dans sa douceur

Au bord des larmes
Je pourrais des heures
Baisser les armes
Jouissant de bonheur

Et je reste minuscule
Devant tant de grandeur
C'est peut-être ridicule:
Il est mon guérisseur



LE PEINTRE



Il y a ceux qui ont l'art des mots
Ceux qui manient leur pinceau...
Mais qu'importe
Car ils nous transportent,
Dans leur univers,
De poésies et de vers,
De l'émotion à profusion,
Du labeur et de la passion,
Un travail acharné
Leur plaisir à partager...
Du fond de leur coeur
Vous offrent du bonheur





MURBACH ABBAYE DE MON COEUR

Tu es si haute, majestueuse
Dans cette vallée silencieuse
Où l'on entend le chant du vent
Et les échos des vieux amants

Le poids des ans ne t'as point vieilli
Tu domines le village endormi
Réveillé par les cris d'enfants
Tu te dresses là éternellement

Mon abbaye que j'aime tant
Remplie d'histoires de tous tes gens
Tu es la doyenne et le présent
Toi la romane que je ressens

Tu es le calme que je respire
La paix intérieure qui m'inspire
Toi notre riche patrimoine
Abandonnée par les vieux moines

Entre grandeur et décadence
Les joies les guerres les défaillances
Il ne reste qu'un petit bout de toi
Mais celui-là c'est ton coeur qui bat

Tu ne mérites pas l'ignorance
Toi qui était soleil en France
Je mettrais toute mon énergie
Pour que tu sois à nouveau chérie

Toi nichée dans un si beau décor
Un paradis chargé de trésors
Il est temps que tu te réveilles
Et que tu brilles enfin au soleil



DECLARATION
Si tu étais un pays
Je te sillonnerais par monts et vaux
A la recherche des trésors les plus beaux

Si tu étais un pays
Le monde serait excité à l'idée de te découvrir
Car tu inspires véritablement le désir


Si tu étais le paradis
Je croquerais la pomme
Et céderais à l'envie
De pervertir l'homme

Si tu étais un pays
J'y déposerais mes bagages
Mais tu es mon ami
Alors je serais sage



FEMME
TOUT SIMPLEMENT




Promis je te mettrai nu
Disposerai de ton corps
Lorsque tu n'en pourras plus
Je t'en demanderai encore

Femme insatiable
Gourmande, pétulante,
Je serai inoubliable
Belle et provocante

Toutes les nuits suivantes
Tu penseras à nos ébats
Dans le froid de ta chambre
Dur mois de novembre

Rêvant d'un nouveau printemps
Féerique et excitant
Bel Apollon abandonné
Sur le point de succomber

Aux doux charmes frivoles
De cette petite folle
Eternelle allumeuse:
(Une femme, oui, mais)
Une femme amoureuse[/size]


PENSEES SECRETES

Si j'avais pu t'aimer
Tout serait différent
Si j'avais pu t'aimer
Nous serions des amants

Si j'avais pu te dire
Qu'il y avait un espoir
Si j'avais pu t'écrire
Changée serait l'histoire

J'ai préféré me taire
Cacher mes sentiments
Eteindre la lumière
Et feindre élégamment

Ma vie s'en est allée
Il me reste le tort
De t'avoir trop aimé
Sans faire aucun effort

Je ne voulais pas t'aimer
Car tout aurait été différent
Je ne voulais pas t'aimer
Mais t'aimerais éternellement




LE DIPLOMATE






Seule ce matin, saugrenue idée,
J'eus pour le petit déjeuner
L'envie subite de déguster
Un diplomate bien proportionné

Des désirs fous ça nous arrive
Souvent à des heures plus tardives
Mais quandcela vous prend
Il faut profiter de l'instant

Et trouver des solutions
Pour assouvir sa passion
Un peu tôt j'en ai conscience
Pour combler mon impatience

Me voilà toute excitée
A l'idée de le débusquer
Al'extase de le consommer
Et de n'en faire qu'une bouchée

Entre-nous très sincèrement
Je vous ai fait perdre du temps
Le diplomate je n'en raffole pas
Ma passion c'est le chocolat

AIMER

C'est perdre sa liberté
Puis sa personnalité
Faire des concessions
Une belle illusion

S'accrocher à un rêve
Se mentir sans trêves
Et se réveiller un jour
Sans remords ni amour

Oublier d'être soi
Pour convenir à l'autre
Se mettre à l'étroit
Et ne plus savoir être

Aimer
C'est se tromper
Beaucoup
de fois
Aimer
C'est exister
Encore un fois
Aimer
C'est
recommencer
A chaque fois

La même erreur
Du fond
du coeur
Pour le meilleur
Et frôler le bonheur


PARTIE

Elle n'est plus là
Elle est ailleurs
Son coeur est froid
Elle n'a plus peur

Des coeurs étroits
De la douleur
Du manque de foi
Des beaux parleurs

Elle a aimé
Sans réticence
Elle a brûlé
Son existence

S'est consumé
D'avoir aimé
D'avoir donné
Sans regretter

Un seul instant
Son coeur d'enfant
Elle n'est plus là
Et puis voilà...




AMOUR INAVOUE
Ces mots-là,

Ceux-là même que je ne prononcerais pas
Ceux qui me font crever pour toi
Ceux qui resteront gravés en moi
Ceux qui me plongent dans ce rêve là

Mais ces mots-là,

Ces mots doux qui sont pour toi
Que je ne partage pas ici bas
Qui font de ma vie un enfer
Qui disposent de mon coeur amer

Mais ces mots-là

C'est bien à toi que je les dois
Toi le fantasme, là où je me noie
Moi le Titanic qui chavire
Mon coeur submergé de délires

Mais ces mots là,

Je les pense plus que tu ne le crois,
Ma bouche close, je reste sans voix
A dériver sans me trahir
Ne pas changer mon avenir

Mais ces mots-là

Maintenant que tu ne les liras pas
Que tu t'es distancé de moi
Que le temps a fait son effet
Et calmé mon coeur à regret

Mais ces mots là,
Mais ces mots là

Je t'aime
Je t'aime
Tant pis pour moi




D'UN PERE A SON FILS




Petit elle avait de la chance ta maman
De t'avoir si près d'elle là-dedans
Je t'aurais attendu un petit peu plus de neuf mois
Avant de te serrer tendrement dans mes bras
Tu as cet air qui me rappelle ta maman
Lorsqu'elle me regarde si amoureusement
Ton petit nez, c'est sûr, il vient de mon côté
Que tu es beau mon enfant, je t'ai tant rêve
Un enfant c'est le plus grand des engagements
Des responsabilités j'en suis conscient
A maman et toi, je vous promets aujourd'hui
De vous protéger tout le long de notre vie
Maintenant je suis père éternellement
Tu as comblé toutes mes prières en venant
Avant de t écrire le plus beau des poèmes
Je veux te dire  une seule chose :


JE T'AIME



LE POETE MELANCOLIQUE




Merveilleux poète reprends ta plume,
Permets à l'espoir de dissiper la brume
Laisse ton pieux coeur apprivoiser tes pensées
Bientôt nous en serons métamorphosés

Ne te fie pas à ces âmes si cruelles
Laisse ton esprit sillonner les ruelles
Ne cherche pas la gloire, songe à ce bonheur
De faire de tes pensées de véritables fleurs

Magicien tu fais apparaître le soleil
Le sourire chez un être qui s'émerveille
D'avoir pu un instant à nouveau rêver

Bienveillant poète remplis bien ta tâche
Que chacun à l'espoir enfin se rattache
Ce jour-là, l'heure de ta gloire aura sonné

Mes amis vous avez la préséance...

De beaux poèmes pour lesquels chacun peut se retrouver et retrouver des instants de sa vie
Bravo

Merci, venant de toi Isis c'est un honneur....

Vous avez cette année également la préséance...

LE POETE

Merveilleux poète reprends ta plume,
Permets à l'espoir de dissiper la brume.
Laisse ton pieux coeur apprivoiser tes pensées,
Bientôt nous en serons métamorphosés!

Ne te fie pas à ces âmes si cruelles,
Laisse ton esprit sillonner les ruelles,
Ne cherche pas la gloire, songe à ce bonheur,
De faire de tes pensées, de véritables fleurs,

Magicien, tu fais apparaître le soleil,
Le sourire, chez un enfant qui s'émerveille,
D'avoir pu un instant à nouveau rêver.

Bienveillant poète remplis bien ta tâche,
Que chacun à l'espoir à nouveau se rattache
Ce jour-là l'heure de ta gloire aura sonné.


L'ANNEE DERNIERE

TOI

Tu étais l'année dernière
Mon fantasme de première
Mon rêve, ma vraie déraison,
Mes émotions, mes illusions.

Tu as disparu un beau jour,
Loin de mon esprit sans détour,
Du vent, il me reste de toi.
Comme si, tu n'existais pas...

Tu as nourri, toutes mes nuits,
De désirs doux et de folies,
Tu étais mon désir mystère:
Inclination passagère.

Je suis tombée jusqu'en enfer,
Pour essayer de me défaire,
De ma faiblesse éphémère,
Mais ça, c'était l'année dernière...


FORCE - FAIBLESSE





Ma faiblesse
Est une richesse
Mon point fort
A partager
Et mes torts
Sont dilués
Ah si la vie nous blesse
Ma force c'est ma faiblesse








LE PEINTRE


Il y a ceux qui ont l'art des mots
Ceux qui manient leur pinceau...
Mais qu'importe
Car ils nous transportent,
Dans leur univers,
De poésies et de vers,
De l'émotion à profusion,
Du labeur et de la passion,
Un travail acharné
Leur plaisir à partager...
Du fond de leur coeur
Vous offrent du bonheur


JE HAIS

Je hais ce monde!
Aussi immonde!
Qui nous inonde.

Dois-je me plaindre?
Choisir de feindre?
Ou le repeindre?

Je hais ce monde!
Chaque seconde,
Douleur profonde.

Les êtres humains,
Parfois inhumains,
Tenteront demain,
D'unir leurs deux mains.

Et de repeindre le monde,
Avec des couleurs profondes,
Pour changer leur commun destin,
Et faire fleurir un monde (vraiment) bien!!!



A SE PROTEGER DE TOUT

A se protéger de tout,
On oublie les petites choses,
Celles qui valent le coup,
Et ne coûtent pas grand chose!

De la simplicité,
D'un si beau paysage...
Un vent de liberté,
Un trésor mis en gage...

Et l'authenticité?
La douceur simplement?
Le charme de l'unité
Dans la diversité?

A se protéger de tout,
On oublie l'essentiel,
Et perdons nos atouts,
En étant tous pareils!

La peur de l'inconnu?
Oh standardisation!
Des trésors disparus?
Retrouvons la raison!!

Sachons nous libérer...
Des chemins tout tracés...
La richesse à la clef
Une nouvelle liberté!!!!


TON OMBRE

Je suis ton ombre:
Insignifiante.
Dans ta pénombre:
Omniprésente.
Toutes mes années,
A satisfaire,
Tes nécessités,
Les plus primaires.
Toujours effacée,
Et solidaire,
Ton utilité,
Mais solidaire!
Je t'ai tout donné,
Pou te complaire;
Rêves oubliés:
Secondaires.
Je veux exister,
Enfin autrement!
Et pouvoir gérer,
Ma vie à présent!
Vivre à travers toi,
Ne me suffit pas.
Je fais d'autres choix
Ne m'en veux pas....



MURBACH ABBAYE DE MON COEUR

Tu es si haute , majestueuse
Dans cette vallée silencieuse
Où l'on entend le chant du vent
Et les échos des vieux amants

Le poids des ans ne t'a point vieilli
Tu domines le village endormi
Réveillé par les cris d'enfants
Tu te dresses là éternellement

Mon abbaye que j'aime tant
Remplie d'histoires de tous tes gens
Tu es la doyenne et le présent
Toi la romane que je ressens

Tu es le calme que je respire
La paix intérieure qui m'inspire
Toi notre riche patrimoine
Abandonnée par les vieux moines

Entre grandeur et décadence
Les joies les guerres les défaillances
Il ne reste qu'un petit bout de toi
Mais celui-là c'est ton coeur qui bat

Tu ne mérites pas l'ignorance
Toi qui était soleil en France
Je mettrais toute mon énergie
Pour que tu sois à nouveau chérie

Toi nichée dans un si beau décor
Un paradis chargé de trésors
Il est temps que tu te réveilles
Et que tu brilles enfin au soleil

SOUVENIRS VIRTUELS

Au delà de l'espace,
Et des affres du temps,
Mes désirs ne se lassent,
Inlassablement,

De mes pensées éparses,
Ton coeur indifférent,
Ces rêves qui me dépassent,
Et qui survivent pourtant!

Envoûtée par l'envie
D'amour à l'infini,
Tu ne cesses d'exister,
Dans ma vie éveillée,

Le souvenir de toi,
Provoque à chaque fois,
Une douce mélancolie
De cet instant béni.

Ces doux plaisirs futiles,
Si beaux si inutiles,
Ces moments conservées,
Pour mon éternité...

Cette non-histoire d'amour
Qui durera toujours...
Encombre mes pensées,
Ne cessera d'exister...


ELLE ETAIT

Elle était jeune et jolie,
Elle voulait croquer la vie,
Elle avait tant d'espoir,
Aujourd'hui c'est trop tard.

Pourquoi ont-ils fait cela?
Je ne les comprends pas,
Pourqui l'ont-ils brûlée?
Ils l'ont tous condamnée.

Un jeu qui tourne au drame?
Une volonté de détruire
Qui vient bousculer le calme
Tout cela pour le plaisir?

Et d'enfants indisciplinés,
Ils se sont mués en meurtriers,
Parents, soyons tous vigilants
C'est l'histoire de nos enfants!!


L'IMPOLI

Les gens me disent bonjour,
Désolé mais je suis sourd!
L'homme étendu devant moi,
Pardon, mais je ne le vois pas!

Pourquoi donc la remercier,
De m'avoir laissé passer?
Elle avait vraiment du temps,
A perdre, c'est évident!

Une fois bien installé,
Je ne saurais me lever,
Pour une personne âgée,
Pardon, j'étais là en premier!

A quoi bon me regarder?
Je suis tout à fait normal...
De vous voir autant choqué?
Impoli c'est sociétal !!


PAGE

L'amour s'en va,
Comme la feuille en novembre,
L'amour s'en va,
Que peut-on attendre?
Des chemins se séparent,
A regret,
La roue tourne,
Nous ne nous retrouverons jamais.
Le lecteur a tourné la page.
Que me reste-il?
Ces doux souvenirs...
Gravés à jamais,
Un peu d'espoir,
Que nul ne promet.
Toutes ces belles histoires,
Accrochées dans ma tête,
Rangées dans le tiroir,
Secret du poète,
Tiroir de l'oubli...
Ou mélancolie,
Jamais ne se fermera,
Mon coeur ne le voudrait pas,
Des rêves envolés...
D'un avenir achevé...
Que me reste-il?

Des souvenirs...
Des souvenirs...
A jamais conservés.

Vous êtes courageux de publier comme ça vos productions (je ne te vouvoie pas , t'inquiète, je suis toujours une affreuse gôchiss, mais je parle pour Gim aussi ^^), impossible de franchir le pas pour moi.

Bravo de vous exposer comme ça!

Anna , à défaut de publier tes poêmes , tu pourrais publier tes pancartes !!!

pour Gim et meyer , je rejoins Anna , je vous félicite .

Mes pancartes ou mes slogans surtout...

Livaste n'arrête pas de se moquer de moi ce soir, alors je fais comme Bayrou: maiiiiiiiisssssssssssseuuuuuuuuuuuuuhhhhhh

Je te crois beaucoup plus de répondant que Bayrou !!

et je reconnais que j'avais envie de plaisanter un peu , et qu'il n'y a pas grand monde sur nos fora , doivent tous être en RTT sur les routes !!

Merci à vous 2...
Lance-toi Anna...je t'assure le ridicule ne tue pas...

Anna a écrit:

Vous êtes courageux de publier comme ça vos productions (je ne te vouvoie pas , t'inquiète, je suis toujours une affreuse gôchiss, mais je parle pour Gim aussi ^^), impossible de franchir le pas pour moi.

Bravo de vous exposer comme ça!

Nous nous ressemblons beaucoup, Anna .
Beaucoup de pudeur .
Il est rare que je croise quelqu'un qui me ressemble autant sur ce plan ...
Les mêmes phobies aussi .

Meyer écrit très bien .
Meyer .
J'avoue ne pas comprendre l'exposition aussi ultime .
C'est presque comme si le seul fait de te lire, était pour moi perçu comme de l'indiscrétion .
Ressemblant beaucoup à Anna sur le plan pudeur, je nous pense toi et moi très dissemblables sur ce plan . A l'opposé . En tous cas dans notre perception .
L'impression que donnent tes magnifiques poèmes, est celle d'un auteur qui "s'émeut" vite sur les gens et ressent très vite des sentiments "amoureux".
Avec beaucoup d'onirique .
Un peu comme si peu importait le flacon, pourvu qu'il y ait l'ivresse ...
Mais peut-être est-ce que ce condensé est écrit sur plusieurs années .
Et le poète n'écrit pas toujours la vérité mais la sublime parfois pour toucher son lecteur .
Tu écris vraiment très bien ...

On doit avoir des caractères ou des vies intérieures similaires mais qui nous ont menées sur des chemins politiques différents

Oui, je suis très pudique notamment sur les sentiments (après avoir vécu en Allemagne, ça va un tout petit peu mieux sur le plan physique), beaucoup de gens de mon entourage m'ont déjà invitée à contacter des maisons d'édition pour tenter de publier, ma mère a toujours été persuadée que je finirais écrivain, mais c'est tout à fait impossible.
Je trouve réellement que les productions littéraires sont parmi les choses les plus intimes, les plus personnelles que l'on puisse faire, elles contiennent trop de folies, de douleurs, de fantaisies propres à soi pour que je puisse personnellement les exposer...

Et je te rejoins tout à fait, à partir de quelques mots, on se fait déjà une idée très précise de la personnalité de celui -enfin celle- qui les a écrits.

Merci...en effet mes écrits s'étalent sur plusieurs années...mais ce qui est vraiment pour moi intime...n'est pas ici...
L'empathie me fait écrire...la réaction d'une personne que je peux dépeindre...
La seule entorse c'est le poète 2009 inspiré par la lecture des poèmes de gim....
J'exprime des vérités potentielles je m'égare mais pas ma réalité...

meyer a écrit:

Merci...en effet mes écrits s'étalent sur plusieurs années...mais ce qui est vraiment pour moi intime...n'est pas ici...
...

Cette vision différente est intéressante, Meyer .
Pour moi c'est le contraire .
Alors que je ne connais pas de pudeur physique (pas d'impudeur non plus), comme beaucoup de gens, je trouve qu'au contraire tu as là plus dit de toi qu'avec des milliers d'autres choses avec ces écrits .
Les poèmes de ce type dévoilent non seulement la sensibilité mais surtout l'imaginaire de chacun . Ses désirs, ses secrets . Ses fantasmes .
Ou alors leur contenu est virtuel ou bien romanesque ...